Après la rencontre du 24 février dernier entre le Président de la FECAFOOT Samuel Eto’o Fils et les membres de l’Assemblée Générale de 2009, que peut-on comprendre ?
Dans le souci de rechercher les voies et moyens d’implémenter un championnat porteur pour les joueurs comme pour leurs familles, le Président Samuel Eto’o Fils s’est engagé avec humilité à rencontrer tous ceux qui étaient impliqués dans la gestion du football camerounais empêtré dans les litiges interminables, stériles et toujours infructueux. C’est dans cet esprit qu’il a rencontré les membres de l’Assemblée Générale de 2009.
Coup de tonnerre
Quelques jours seulement après, ce sont deux Avocats, Wamba et Elomo Manga qui servent à l’opinion nationale et internationale, une lettre publiée le 02 mars courant à l’initiative disent-ils de quelques membres de l’AG 2009 qui ne sont pas d’avis pour un rapprochement avec le nouveau Président de la FECAFOOT et qui demandent la poursuite des procédures TAS2021/A/8338 et TAS2021/A/8456 au Tribunal Arbitral des Sports de Lausanne en Suisse.
Une chose est sûre, les ennemis du peuple camerounais qu’on connaît pour la plupart, n’entend pas laisser le peuple camerounais jouir des bienfaits du football camerounais à travers leurs enfants. Ils font feu de tous bois pour qu’on demeure dans la même situation calamiteuse où les enfants sont la proies de ceux-là. On sait ce qu’ils font de nos enfants, mais qu’ils soient informés que les choses ne se passeront plus comme avant ; tout le monde a droit à la vie, tout le monde a le droit de jouir de ses talents et d’en être épanouis. Sur le plan juridique, je voudrais leur faire connaître que si une partie a pris part à la rencontre du 24 février et a adhéré aux projets du nouveau Président de la FECAFOOT, il faut que, plutôt que de nous servir une lettre signée des Avocats, que ceux-ci joignent à cette lettre la liste des contestataires car nous somme dans une association et qu’il faille qu’on sache de quel côté se trouve la majorité. Neous pensons qu’il est temps que ces enemis du peuples agissant dans l’environnement du football camerounais et ceux qui en sont éloignés sachent que les familles les regardent.